De piètres excuses
Le patron, pris sur le fait, a essayé de fournir une excuse. “Je ne faisais que jouer”, a-t-il marmonné, espérant faire passer ses actes pour un amusement innocent. Mais la gravité de ses actes, l’agonie qu’ils ont causée à l’animal innocent, ne pouvaient pas être rejetés aussi légèrement. Susan a vu clair dans sa piètre tentative de rationalisation, et sa détermination est devenue plus forte.
La prise de conscience commence
Susan passe rapidement l’enregistrement audio de sa conversation téléphonique dans laquelle il discute de ses plans pour faire taire John. Alors que les mots incriminés inondent la pièce, l’expression de la patronne passe du choc à la compréhension. Les preuves sont indéniables. Son plan, son manque de respect pour la santé des animaux et la réputation du zoo étaient tous exposés au grand jour. La partie est terminée.