une deuxième nuit
Cette nuit-là, Tom s’est senti attiré vers l’arrière-cour. Les aboiements, faibles au début, devenaient plus forts à chaque minute qui passait. Incapable de résister, il est sorti du lit et a attrapé sa lampe de poche. “Il faut que je sache”, dit-il à voix basse, en descendant les escaliers sur la pointe des pieds. La porte arrière grinça lorsqu’il l’ouvrit doucement et s’avança dans l’obscurité. La cour était calme, mais les aboiements semblaient le séduire, l’attirant vers le lieu de repos de Max.
Regarder dans la nuit
Tom s’est précipité dehors, une lampe de poche à la main, son pouls battant la chamade. Les aboiements se sont intensifiés, résonnant dans l’air calme de la nuit. Il a balancé le faisceau de sa lampe de poche à travers la cour, impatient de trouver Max. Cependant, l’arrière-cour est restée inchangée : pas de mouvement, pas d’ombres, juste le vieux calme. “Où es-tu ?” demanda-t-il, se sentant à la fois déçu et déterminé. Malgré la cour vide, le sentiment de la présence de Max persistait.